Depuis plusieurs années, en raison de la faible production locale, les différents marchés de la ville de Tchibanga étaient approvisionnés en manioc depuis le Congo voisin. Mais depuis quelques semaines, avec la dynamique impulsée par les plus hautes autorités en matière d'agriculture, notamment à travers le programme Graine, la tendance s'est désormais inversée, a confirmé Théophile Ogandaga, P-dg de la Sotrader.
Le ministre en charge de la Fonction publique, Ali Akbar Onanga Y’Obegue, a reçu, jeudi dernier, une délégation d’experts de la Banque islamique de développement.
La Banque africaine de développement (Bad) a rendu publiques, jeudi dernier, les conclusions de l'étude sur l’industrialisation durable de la filière bois dans les pays du Bassin du Congo.
La direction générale des enquêtes douanières et du contentieux, conduite par Patricia Loury Antseleve, a procédé, hier, à la destruction de plus de 12 mille produits cosmétiques d'une valeur de près d'un milliard de francs. Des produits saisis préalablement dans plusieurs magasins de la place.
Après plusieurs mois d'interruption, les travaux de la route Port-Gentil-Omboué, longue de 93 kilomètres, ont bel et bien repris avec le bitumage des derniers tronçons, l'aménagement des voies d'évacuation et le reprofilage des trottoirs.
La Banque africaine de développement (Bad) a ouvert, le 10 septembre, à Libreville, l’atelier régional de consultation sur le Document de stratégie d’intégration régionale-Afrique centrale 2018-2025.
Dans le cadre de ses missions renforcées, notamment celles d’assurer l’encadrement des activités des transports et du fret multimodal, le Conseil gabonais des chargeurs (CGC) a ouvert, le 10 septembre, à Libreville, un séminaire de formation au profit de ses agents.
C'est l'objectif poursuivi par la direction nationale des assurances, et décliné lundi dernier par la directrice, Prisca Koho-Nlend, lors de la rencontre avec les élus locaux et les opérateurs économiques de la commune d'Owendo.
En réponse au doublement soudain de la demande de ciment en haute saison, le géant marocain a annoncé quelques mesures palliatives. Sauf que celles-ci prendront encore quelques mois pour être mises en œuvre. En attendant, tout le secteur BTP sera paralysé si l'Etat ne se résout pas à ouvrir partiellement la concurrence à l'importation réglementée du ciment.
L’approvisionnement en ciment dans la capitale et autres chefs-lieux de provinces est devenu une épreuve épique. Depuis près de 2 mois, le groupe marocain Cimaf n'arrive plus à répondre à la forte demande saisonnière, malgré sa position monopolistique et les assurances données au gouvernement quant à sa capacité à « inonder » le marché local et sous-régional.
