Gabon politique

Actualité politique au Gabon

CND : Consolider la démocratie en gestation

C'est un satisfecit que le président du Conseil national de la démocratie (CND), Séraphin Ndaot Rembogo, tire des travaux de la 1re session ordinaire de l'Assemblée plénière de l'année 2020 clôturée, hier, à son siège du Boulevard Triomphal. Pour lui, les questions inscrites à l'ordre du jour de ces assises "visaient à revitaliser notre institution, le CND, et à consolider la démocratie en gestation".

PDG : Remobiliser les troupes à Ntoum

Ramener la sérénité dans les rangs des militants du Parti démocratique gabonais (PDG) et par la même occasion remobiliser les structures de base de la commune de Ntoum, dans la province de l'Estuaire, avant les festivités marquant le 52e anniversaire de la formation politique créée par feu Omar Bongo Ondimba, le 12 mars prochain : c'est la tâche à laquelle s'est attelé, samedi, à la salle polyvalente de Ntoum, Julien Nkoghe Bekale, membre du Comité permanent du Bureau politique, par ailleurs élu du 1er arrondissement de cette ville.

CLR : Quand le président recadre son délégué général

Jean-Boniface Assélé, président fondateur du Centre des libéraux réformateurs (CLR), a récemment adressé une Note à charge à la deuxième personnalité dudit parti, Nicole Assélé. Cette dernière a été portée au directoire du CLR lors de son premier congrès extraordinaire, le 14 février 2019. Une initiative qui, aux yeux de certains, a valeur de "rappel à l'ordre".

CND : Une réforme au creux de la vague

Après le rejet du texte portant réforme du Conseil national de la Démocratie (CND), en octobre dernier, à l'Assemblée nationale, par les membres de la Commission des Lois, des Affaires administratives et des droits de l'Homme, c'est peu de dire que la réforme de cette institution, qui avait été préconisée à l'issue du Dialogue politique d'Angondjé, est actuellement au creux de la vague.

PDG : Le BDP condamne !

En apportant son soutien au chef du gouvernement, la semaine écoulée, le président du groupe parlementaire du Parti démocratique gabonais (PDG) à l’Assemblée nationale, Martin Mabala, n’avait certainement pas anticipé les réactions divergentes que cela susciterait.

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