Mardi dernier, le ministre des Affaires étrangères est allé représenter le chef del'Etat Ali Bongo Ondimba à la 2e édition du forum de Paris sur la paix. C'est devant une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernements venus de tous les coins du monde que le président de la République française, Emmanuel Macron, a ouvert les travaux.
Ayant fait les frais du récent réaménagement du gouvernement, ils siègent désormais au palais Léon-Mba en qualité de députés du 2e arrondissement de la commune de Franceville, et du 2e siège du 5e arrondissement de Libreville.
Cette formation, qui a effectué sa première sortie le week-end dernier, se définit comme une association dont le champ d'action sera le monde politique.
Le Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, s'est entretenu, hier, avec le ministre algérien du Commerce, Saïd Djellab. Entretien élargi à son homologue gabonais, Jean-Marie Ogandaga, et à l'ambassadeur d'Algérie au Gabon, Mohamed Andar Daoud.
Annonçant à la "Une" de notre édition d'hier la prestation de serment des nouveaux ministres devant le président de la République, nous avons fort malencontreusement écrit "Omar Bongo Ondimba" à la place d'Ali Bongo Ondimba
Ces assises s'inscrivent dans le cadre de la 20e session ordinaire du CCPPAC.
La cérémonie y relative a eu lieu hier au palais de la présidence de la République. En présence de plusieurs hautes personnalités.
Le Porte-parole de la Coalition pour la nouvelle République (CNR), Frédéric Massavala-Maboumba, a annoncé, samedi dernier, à la faveur d'une conférence de presse, dans un hôtel de Libreville, sa nouvelle posture politique.
Tout comme ses collègues du gouvernement, Jean de Dieu Moukagni Iwangou, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et du Transfert des technologies a passé, récemment, son "grand oral" à l'Assemblée nationale.
Une situation source de nombreux désagréments pour les populations de la contrée.
