Deux compatriotes, Jean de Dieu Mayombo, plus connu sous son nom d'artiste Angelo Waye Marane, et Joseph Landry Moubele Bingoulou, ont continué à œuvrer pour cela en produisant des œuvres gigantesques et attractives au parc animalier de la ville de Zlin en République tchèque.
Absente de la scène nationale depuis quelques années, l'artiste-musicienne a réalisé un carton plein, samedi soir, à l'Institut français du Gabon, à l'occasion de son concert-retour.
Calmer le jeu dans son département, c'est l'exercice effectué, vendredi dernier, par le ministre de la Santé, Max Limoukou, lors de la séance de travail tenue avec les représentants de l'Union des personnels de la Santé (UPSA), du Syndicat national des agents de Santé (Synas), Syndicat national de la main-d’œuvre non permanente (Synamomp) et le Syndicat national des personnels de santé (Synaps), à son cabinet de travail.
Le Comité africain d’experts sur les droits et le bien-être de l’enfant (CAEDBE), en collaboration avec la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), s'est réuni à Libreville du 5 au 6 septembre dernier dans le cadre de la vulgarisation de l'agenda 2 040 qui est une déclinaison des droits de l'enfant de l'agenda 2 063 de l'Union africaine.
En prélude à son spectacle ce samedi 7 septembre 2019, à 20 heures, à l'Institut français, l'artiste-musicienne gabonaise partage, dans cette interview, les moments forts qui vont constituer ce rendez-vous musical marquant son retour sur scène, après une longue pause musicale. Mais également la sortie imminente de son nouvel album, ses projets et surtout la nouvelle reconversion professionnelle opérée dans sa vie.
La promesse d'offrir des emplois directs aux bénéficiaires du projet Handi'entrepreneurs constitue le premier engagement fort que l'institution bancaire entend honorer.
Le Syndicat national des travailleurs du secteur de l'eau et de l'électricité (SYNTEE) brandit une nouvelle menace de grève.
Le mouvement associatif "Jumbo", œuvrant pour le social et le bien-être familial a, au cours de sa sortie officielle le week-end écoulé à l'orphelinat de l'Espérance sis à Kinguélé, dans le 3e arrondissement de Libreville, offert quelques présents aux enfants qui y résident. Un geste qui, selon le président du mouvement, Bienvenu Aba'a Assoumou, contribue à améliorer leur quotidien et leur apporter le sourire.
Construit en 1993 pour une capacité de 150 élèves, l'établissement accueille désormais près de 700 apprenants. L'offre de l'ambassade du Japon vient régler partiellement le problème des effectifs pléthoriques et de l'insécurité au sein de cette école publique.
L'interdiction de consommer du tabac au Centre hospitalier universitaire de Libreville (Chul) est le seul acte concret envisagé jusqu'à ce jour. Malgré l'existence d'une batterie de mesures y relatives, il y a encore trop de résistances qui empêchent l'application de la loi dans tous les espaces publics.
