Sommés le 7 novembre dernier par le vice-Premier ministre, Bruno Ben Moubamba, de libérer sous huitaine les logements qu'ils occupent de façon illégale, les occupants des cités baptisées " l’Égalité des Chances “ et "l’Émergence” avaient jusqu'à 18 heures hier pour s'exécuter.
Exporter vers les Etats-Unis ou recevoir du soutien le long du processus de création ou d’expansion de votre entreprise, le gouvernement vient d’apporter deux outils importants au bénéfice des opérateurs économiques.
Cet ancien chargé de mission du président de la République a été porté, hier, à la tête du conseil du 4e arrondissement de la commune de Libreville, par ses collègues élus de ladite collectivité locale.
Il s'agit de satisfaire les besoins des entreprises en compétences et de développer les offres de formation dans les métiers de l'eau, de l'électricité et de la relation clientèle. Le ministère du Travail, la SEEG et l'Académie de Paris ont paraphé, ce lundi 14 novembre, une convention cadre de partenariat public-privé.
Le partenariat entre le Gabon et l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) s'enrichit d'un nouveau volet. L'organisme accompagnera désormais notre pays dans la mise en œuvre de sa politique de développement social et familial.
Le joueur de la Juventus a montré qu'il avait désormais l'étoffe pour endosser un rôle de leader.
Elle s'était arrêtée pour acheter des fruits et légumes. Rose Mouima Ngoma (63 ans) a été fauchée par un Coaster. Tuée sur le coup et décapitée.
Au Gabon, il s'appelait Eric Nzamba Miyagou, né le 18 février 1987, à Fougamou. Mais une fois au Togo, son pays d'origine, Ogbone Akomola retrouvait sa vraie identité. Né le 27 janvier 1987 à Lomé. Sauf que sa double nationalité a été mise à nu par la gendarmerie de Fougamou.
Ouverture officielle, ce mardi de la 22e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. L'occasion pour le Gabon de réaffirmer ses engagements.
Le leader du groupe jihadiste nigérian Boko Haram, Abubakar Shekau, a réagi à l'élection de Donald Trump. Il lui a promis que la "guerre ne faisait que commencer" (selon l'AFP).