Le dernier décaissement de la tranche du Fonds monétaire international (FMI) pour accompagner le Gabon dans son Plan de relance économique (PRE) interviendra en avril 2020. Quelle est, aujourd'hui, la marge de manœuvre du gouvernement, à quelque huit mois de la fin de ce PRE ? Au regard des délais dans les actions et des instruments de politiques économiques, l'équipe gouvernementale dispose-t-elle encore des leviers pour accentuer la diversification de l'économie ? Quelle lisibilité offre-t-elle pour sa mise en actions durant le temps restant ? Face à une information économique difficilement disponible, l'opinion nationale s'interroge.

Avec l'adoption de nouvelles taxes dans la Loi de finances 2019, la Confédération patronale gabonaise (CPG) s'est, maintes fois, interrogée sur leurs impacts réels sur l'économie. C'est dans cette optique que le bureau du patronat, conduit par son président, Alain Bâ Oumar, a eu, le 8 mars dernier, une importante séance de travail avec le ministre de l’Economie.

« Un père envoya ses trois fils, l'un après l'autre à travers le monde à la recherche de quoi sortir leur famille de la pauvreté. Les valeurs telles que la politesse, le courage, le goût de l'effort vont guider leurs pas et être à l'origine de leur réussite. Mais, sur le chemin du retour, un piège les attend. Une valeur supplémentaire permettra d'y échapper... »

Jeudi dernier, le ministre de l’Équipement, des Infrastructures et des Travaux publics, Arnaud-Calixte Engandji Alandji, et son équipe ont visité quelques chantiers des voiries de Libreville, afin de s'enquérir de l'état d'avancement des travaux lancés il y a quelque temps par le gouvernement.

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