Arès l’aventure infructueuse du judoka Paul Kibikaï (-81kg), mardi, le tour revient à sa coéquipière Sarah Myriam Mazouz dans la catégorie des 78 kg, au gymnase de Carioca Arena 2, et au jeune nageur Maël Ambonguilat de se produire dans le bassin du stade olympique. Aujourd’hui. Les ambitions de nos deux « ambassadeurs » diffèrent, tant les niveaux ne sont pas les mêmes.
Le représentant gabonais en natation est, certes, au bon soin de l’équipe nationale d’Islande, pays où il poursuit ses études, mais sa prestation, en dépit de sa volonté et du dicton selon lequel « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années », peut se résumer à un apprentissage. Qui peut déboucher sur l’amélioration de son chrono. « Il y a espoir pour nous de voir Maël, qualifié sur le 50 mètres nage libre, améliorer son chrono. Lequel, à notre avis, va exploser l’an prochain », estime le coach Saturnin Mpali.
Les regards sont plus rivés vers Mazouz en dépit de ce constitue une réelle préoccupation pour tout sportif: le stress. « Je redoute le plus d’être paralysée par le stress, et donc de ne pas être en mesure de combattre à mon meilleur niveau. Aux entraînements, je fais tomber les filles du top 10. Je sais donc que je peux le faire ce jeudi. Le stress reste pour tout sportif, dont moi, un adversaire de taille », reconnaît-elle.
MIKOLO MIKOLO
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