Sans détour, le membre du gouvernement se prononce sur les critiques suscitées par le nouveau Code de la communication et le léger remaniement gouvernemental intervenu lundi dernier.
l'Union. Monsieur le ministre d'État, entré en vigueur le 2 janvier dernier, le nouveau Code de la communication suscite déjà des critiques négatives d'une grande partie des professionnels des médias. Quel est votre sentiment et quel est finalement l'intérêt de ce texte ?Alain Claude BILIE-BY-NZE : Je vous remercie de l’opportunité que vous nous offrez, à travers cet entretien, d’éclairer l’opinion sur l’étendue du nouveau Code de la communication, ses objectifs et les grandes avancées qu’il comporte pour les professionnels des médias et de la cinématographie dans notre pays. (...)De fait, ce Code a pour objectif, d’une part, de créer un cadre juridique qui permet aux différents acteurs du secteur de la communication d’exercer leurs métiers avec plus de liberté, plus de responsabilité au sein d’un environnement concurrentiel et de plus en plus exigeant, et, d’autre part, de créer les conditions favorables à l’émergence d’une industrie du cinéma dynamique, disposant d’instruments juridiques efficients afin de gérer de manière adéquate les activités liées à la cinématographie et à l’animation de l’image.
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maixant.moussavou
