C’est l’une des problématiques abordées, hier, par la commission 4 relative à "la consolidation de la paix et de la cohésion nationale". Au cours des discussions, les deux camps, majorité et opposition, ont livré leurs différentes approches sur le sujet.
Les membres des différentes commissions étaient en conclave hier, chacun sur la thématique qui le concerne, pour trouver des solutions relatives aux questions soumises à leur appréciation.
C’est le cas par exemple de la commission 4 qui traite de "la consolidation de la paix et de la cohésion nationale". Hier, ils ont posé sur la table des discussions, la problématique des "prisonniers dits politiques" qui, pour la plupart, ont été arrêtés lors de la présidentielle d’août dernier.
Pour ce qui est de l’opposition présente dans cette commission, ladite question demeure une "préoccupation majeure". Selon certaines sources, les deux camps ne perçoivent pas ce problème de la même manière. Les membres de l’opposition parlent de "prisonniers politiques", tandis que ceux de la majorité les considèrent comme des prisonniers de droit commun.
Toutefois, les deux camps se sont mis d’accord quant à l’idée de trouver des solutions afin que "ces prisonniers recouvrent rapidement leur liberté".
Martina ADA METOULE
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