Par la voix du président du bureau du Conseil politique, ils ont réaffirmé que leur leader est le président de leur formation politique, ainsi que leur appartenance à la majorité républicaine et sociale pour l'émergence.
Ce qu'il est désormais convenu d'appeler "le feuilleton sur la paternité de l'Alliance démocratique et républicaine" (Adere), opposant l'ancien vice-président de la République, M. Didjob Divungi Di Ndinge, à l'actuel ministre de l’Éducation nationale, Florentin Moussavou, n'est pas prêt de connaître son épilogue.
Dernier rebondissement en date : la déclaration, le week-end écoulé, au siège de l'Adere (tendance Florentin Moussavou) du président du bureau du Conseil politique, Damas Mapangha Matsy, dans laquelle il a affirmé ne pas être en possession de l'arrêt de la Cour d'Appel de Libreville confirmant M. Didjob Divungi Di Ndinge comme président de l'Adere. Si cet arrêt est avéré comme l'ont laissé entendre certains confrères et les réseaux sociaux ces derniers jours, il a indiqué que " l'Adere se pourvoira en cassation, par l'entremise de son avocat".
Quoi qu'il en soit, aux yeux de Damas Mapangha Matsy, la situation est suffisamment claire. D'autant que, selon lui, l'Adere est un parti de la Majorité républicaine et sociale pour l'émergence (MRSE) et Florentin Moussavou est un de ses membres fondateurs.
J.K.M
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique Gabon