LE chantier ouvert à l'échangeur de l'IAI fait partie des 134 sites à traiter dans la ville de Libreville, des points reconnus par les populations et identifiés comme étant inondables
LE chantier ouvert à l'échangeur de l'IAI fait partie des 134 sites à traiter dans la ville de Libreville, des points reconnus par les populations et identifiés comme étant inondables. L'ampleur de ce problème nécessitait bien un effort proportionnel de l'administration municipale qui ne peut y faire sans moyens financiers conséquents.
Selon un cadre municipal, " ce qui est dit sur les réseaux sociaux sur un prétendu détournement de fonds d'un montant de 334 millions de francs est tout sauf vrai. L'opérateur, avant de commencer les travaux, avait bien besoin d'une garantie de paiement. C'est dans cette optique qu'une commande a été passée pour exécution immédiate des travaux ".
Et d'ajouter qu' " à ce jour aucun décaissement n'a été effectué. Vous savez que les prestataires refusent maintenant de préfinancer les travaux. Nous avons des urgences sur lesquelles l'on ne peut pas transiger, et le problème des inondations ainsi que celui des bassins versants de Libreville nous tiennent à cœur, car voyez ce qui se passe dans nos quartiers à chaque pluie. "
L'opération ainsi lancée ne consiste pas en un simple curage de caniveaux. Elle pourrait intégrer d'autres problématiques tels que l'aménagement des bassins versants et des canalisations.
ENA
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique