Justice et faits divers au Gabon

Un carambolage s’est produit, hier matin, à Libreville, sur le boulevard Triomphal Omar Bongo, précisément au niveau de l’ambassade de Guinée, dans le sens Cité de la Démocratie-Hypermarché Mbolo.

Boris Moukoula, Gabonais âgé de 22 ans, est un habitué des services de police judiciaire. Son dernier acte répréhensible en date, il vient de le commettre au domicile de sa grande sœur.

Le surveillant du Collège d'enseignement secondaire (CES) du Centre, Guy Daniel Nguimbi Dibouenzi, est dans de sales draps, il serait rendu coupable de viol sur une gamine de 5 ans.

Un incendie d’une rare violence a ravagé une maison d’habitation, samedi dernier, en fin de matinée, au quartier Avéa (deuxième arrondissement de Libreville), causant d’importants dégâts matériels.

Un incendie d’une rare violence a réduit en cendres, dans la nuit de mercredi à jeudi, le marché de la foire centrale situé en plein centre-ville de la commune d'Oyem, causant d’importants dégâts matériels.

Un jeune compatriote, Wilfried Kosso, avait pris l'habitude d'aller voler des régimes de banane dans des plantations situées dans les environs de la ville de Lambaréné. Notamment en face de la préfecture du département de l’Ogooué et des Lacs.

Ce compatriote de 31 ans a été renversé sur la voie publique, par un véhicule qui a pris la fuite, dans la nuit du dimanche 28 mai, au quartier Charbonnages, dans le premier arrondissement de la commune de Libreville. La victime a succombé à ses blessures au Centre hospitalier universitaire d’Owendo (CHUO).

Deux compatriotes, Smith Yangari Dandy, 26 ans, caporal de l'Armée de terre, et Arthur Mboumba Ngoma, 23 ans, agent révoqué de la Garde républicaine, tous domiciliés au quartier Belle-Vue-2, dans le troisième arrondissement de Libreville, ont été interpellés, jeudi 25 mai dernier, par la Police d'investigations judiciaires (PIJ), pour usurpation de titre et voie de fait.

Un ressortissant malien, D.B., la vingtaine révolue, a été victime, dans la matinée du 23 mars dernier, dans son établissement commercial sis à Plaine-Orety, d'un vol à main armée. Le butin emporté par les malfrats : une somme de 135 000 francs et un téléphone portable.

Ferry Alila Ewing croyait que la justice l'avait définitivement oublié, après plusieurs mois de cavale au Cameroun.