Forte mobilisation samedi dernier, à la mairie du 5e arrondissement de la commune de Libreville. C'était à l'occasion de la tournée de remerciements aux populations, suite aux résultats obtenux par les Sociaux-démocrates gabonais (SDG), lors du double scrutin législatif et local des 6 et 27 octobre dernier.
Sur proposition du président de l'Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, qui a conduit la délégation de son institution aux assises de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), tenues à Rabat au Maroc, les participants ont adopté, à l'unanimité, le projet de création d'une Commission interparlementaire pour la Zone de libre-échange continentale (Zlec).
Vendredi dernier, l'ex-gouverneur de la province de l'Estuaire, Rigobert Ikambouayat Ndeka, a officiellement pris ses fonctions de ministre de la Communication en remplacement de Guy Maixent Mamiaka.
La manifestation qui aura lieu au palais de la présidence de la République obéit aux dispositions de l'article 15 de la Constitution.
La présidente du Sénat a récemment parrainé la manifestation organisée en l'honneur des femmes de Ndendé. Avant de se rendre à Fougamou, sa circonscription politique, pour honorer, à leur tour, les mères de ladite contrée.
Omar Bongo Ondimba était un chantre de l'unité nationale. Tout au long des quarante-deux ans de son magistère, il ne s'est jamais départi, en effet, de la nécessité de rassembler les Gabonais en les exhortant à transcender leurs origines ethniques, claniques et provinciales tout en privilégiant l'intérêt supérieur de la nation.
Premier chef d'État de la sous-région à être reçu par Ali Bongo Ondimba depuis son retour définitif au Gabon, le numéro un tchadien et son homologue ont évoqué des questions liées à la situation économique, financière et sécuritaire en Afrique centrale.
Le chef de l'Etat a échangé, lundi, avec la secrétaire générale de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) arrivée dans notre pays dimanche soir. L'entretien entre les deux personnalités a eu lieu au palais présidentiel.
La secrétaire générale de l'Organisation internationale de la francophonie s'entretiendra avec le chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba.
Le "Kevazingogate" est loin de connaître son épilogue. La sortie, le week-end écoulé, du Parti écologique gabonais (PEG), risque de faire des vagues. Et pour cause, cette formation politique estime que la levée de l'immunité parlementaire des élus concernés est impérative. Car, il s'agit de traquer dans leurs derniers retranchements les auteurs connus ou tapis dans l'ombre du scandale du kevazingo, cette affaire qui défraie la chronique.
