Le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, a reçu, avant-hier mercredi, en audience, le Pr Mohamed El Hacen Ould Lebatt, envoyé par l’Union africaine (UA), en mission d’appui et de facilitation du Dialogue politique.
Gabon politique
Actualité politique au Gabon
Qui veut aller loin ménage sa monture. C'est cette philosophie qui a conduit les militants du Parti démocratique gabonais (PDG) dans le 2e arrondissement de Libreville, le week-end dernier, précisément au Centre de formation professionnelle de Nkembo.
Les responsables de l'Alliance pour le soutien et le développement des jeunes (ASDJ), un parti politique qui se réclame de l'opposition, étaient, le week-end dernier, dans le troisième arrondissement.
Le président de la République a accordé hier une audience au vice-président du comité permanent de l'Assemblée populaire nationale de Chine dont le séjour de 48 heures prend fin aujourd'hui.
Le Parlement gabonais des jeunes est désormais à sa 7e mandature. Les parlementaires juniors qui devront l’incarner on été sélectionnés, samedi dernier, dans les différentes provinces de notre pays.
C'est du moins l'un des principaux objectifs des assises organisées dans la capitale saoudienne, et auxquelles le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a pris part, aux côtés de plusieurs de ses pairs du monde arabo-musulman, ainsi que du chef de l'Etat américain Donald Trump.
Comme une demi-douzaine de chefs d'Etat africains, il répond à l’invitation du roi Salman Ben Abdelaziz Al Saoud d'Arabie Saoudite pour prendre part au sommet arabo-américain, du 20 au 21 mai 2017 qui verra la participation du président américain Donald Trump.
Depuis près de trois semaines, les élus locaux ont clairement décidé d’aller en fronde contre la gestion de leurs dirigeants. Ainsi, ils contestent les comptes budgétaires des deux communes estuariennes et du conseil départemental de Bendjè à Port-Gentil.
Même si, comme il fallait s'y attendre, au regard de la diversité politique des membres de cette collectivité locale, l'unanimité n'a pas été au rendez-vous, plusieurs élus ayant voté contre le texte.
Jusqu’à présent, ce bord politique semble ne pas parler d'une même voix sur un certain nombre de points. Une frange de cette opposition n’entend pas partager les propositions émises par l’autre sur, entre autres, la présidence du Conseil supérieur de la magistrature.