Gabon politique

juge d'instruction française a récemment décidé d'enquêter sur d'éventuels crimes contre l'humanité en rapport avec les violences post-électorales qu'a connues le Gabon au lendemain de l'élection présidentielle du 27 août 2016.

Il est difficile de croire que c'est encore l'amour fou entre le Parti démocratique gabonais (PDG) et son allié de toujours, le Centre des libéraux réformateurs (CLR). Du moins, au niveau de la cogestion du conseil municipal de la commune de Libreville.

Le président de la République, qui est arrivé à Addis-Abéba (Ethiopie) hier, en plus d'assister aux travaux du sommet de l'UA, a eu des entretiens avec plusieurs personnalités étrangères dont le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, ainsi que le sous-secrétaire général des Nations unies, Mme Aminata J. Mohamed.

C’est l’une des conclusions issues des assises de ce parti politique de l'opposition qui se sont tenues le week-end dernier.

Cette rencontre de haut niveau aura lieu du 3 au 4 juillet courant à Addis-Abeba, en Ethiopie, qui abrite le siège de l'Union africaine (UA).

Au cours de cette même sortie l'ancien candidat à la présidentielle d'août 2016 a prôné la prise de conscience des jeunes.

Les élus locaux de la commune de Libreville se sont réunis hier, à la mairie centrale de la capitale, dans le cadre de leurs travaux relatifs à la session ordinaire du conseil municipal de ladite commune.

Le Premier ministre s'est fait fort, hier, d'édifier les membres de la Représentation nationale sur les contours du Plan de relance économique (PRE) adopté par le gouvernement le 19 mai 2017.

Dans une déclaration émanant de la conférence des présidents de la Coalition pour la nouvelle République (CPNR), Frédéric Massavala Maboumba s'est demandé, hier au "QG" de Jean Ping, pourquoi les acteurs de ce camp politique font-ils face à autant de persécutions.

Sous de fallacieux prétextes, plusieurs compatriotes vivant à l'étranger s'en prennent physiquement et verbalement à des personnalités gabonaises.