Gabon Culture & Société

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Covid-19 : l'emprise sur le pays se poursuit

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la sortie de l'auberge chez nous avec ce nouveau coronavirus n'est pas pour demain. C'est que la progression, ces derniers temps, des statistiques liées à cette pandémie du Covid-19 est telle qu'un possible assouplissement des mesures actuelles paraît difficilement envisageable. Chaque jour qui passe apporte son lot de chiffres effrayants.

Entretien : ''Résoudre progressivement la problématique des régularisations''

Dans cet entretien exclusif, la ministre de l’Emploi, de la Fonction publique, du Travail et de la Formation professionnelle, chargée du Dialogue social, Madeleine Berre, aborde l’évolution de l’ensemble des réformes. Elle passe au crible les mécanismes d’aboutissement, les blocages, les discussions avec les partenaires sociaux, les perspectives à court terme et la démarche impulsée pour être en conformité avec l’obligation de résultat.

Pandémie : des ''Amazones'' solidaires des familles vulnérables

La pandémie de Covid-19 a davantage mis en relief la vulnérabilité de nombre de familles, notamment à Libreville. D'où l'appel à la solidarité lancé par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, aux compatriotes de bonne volonté, aux opérateurs économiques et aux organisations associatives pour venir en aide aux personnes démunies.

SEEG : le désenchantement

L'engouement s'est fortement étiolé, se muant en désenchantement. Tellement une grande déception est perçue dans les rangs de la communauté des clients de la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG). Ces derniers ont constaté, depuis le 25 mai dernier, date officielle de la poursuite de la gratuité de l'eau et de l'électricité, la non-effectivité de cette mesure présidentielle.

Éducation : l'exigence des établissements privés

Après avoir exigé le paiement des frais de scolarité du mois de mars aux parents d'élèves, certains chefs d'établissements du secteur privé (à l'arrêt depuis le 14 mars 2020 pour cause de coronavirus) sont revenus à la charge en ordonnant le paiement des mois d'avril et de mai, sous peine de ne pas délivrer les bulletins de notes et les certificats de scolarité de l'année en cours.

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