Gabon Culture & Société

Une question qui s'impose à chacun, à l'heure où le coronavirus sévit et n'épargne plus personne.

Il appartenait à cette classe d’enseignants dévoués, comme on en rencontre rarement de nos jours. Décédé le 3 mai 2020 au Centre hospitalo-universitaire de Libreville (CHUL), dans des conditions ayant ému plus d'un, Paulin Bitoughat repose désormais auprès des siens, à Oyem où il a été inhumé le week-end dernier.

Notre pays pourrait franchir la barre des 2 000 cas testés positifs au Covid-19 dans peu de temps. C'est du moins ce que démontre la cartographie de la situation épidémiologique que nous dresse quotidiennement le Comité de pilotage (Copil) du plan de veille et de riposte contre l'épidémie à coronavirus.

La nouvelle est tombée avant-hier comme un couperet : Guy-François Mounguengui-Koumba, journaliste émérite de Télévision et actuel député (PDG) du 1er siège du 5e arrondissement de Libreville, est décédé.

Dans une note circulaire parue le 18 mai dernier, le ministre de la Santé publique, Max Limoukou, attire l'attention des opérateurs économiques évoluant dans les domaines de la désinfection ou décontamination et de la dératisation des espaces publics et privés, sur les exigences de telles opérations.

Cette infrastructure installée au palais des sports aura vocation à dynamiser le rythme des analyses des tests de dépistage du nouveau coronavirus en donnant une impulsion à ce volet, d'autant qu'il disposera d'une capacité d'analyse de 10 000 tests/jour.

Les dockers temporaires exerçant au port d’Owendo, dans la commune éponyme, ne sont plus en odeur de sainteté avec leurs responsables du bureau d’embauche du Groupement professionnel des acconiers du Gabon (GPAG).

Depuis le début de la crise sanitaire due au nouveau coronavirus (Covid-19), le Comité de pilotage du plan de veille et de riposte contre l'épidémie à coronavirus (Copil) invite chaque personne à être responsable, en évitant des déplacements non-essentiels pour les non-malades, et pour les patients Covid, à ne pas se sentir stigmatisés, car le Covid-19 n'est pas une maladie de la honte.

PLUS d'un mois que le Gabon, à l'instar des autres pays de la planète, fait face à une crise sanitaire sans précédent marquée par la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19)

La question du réaménagement du calendrier est au cœur des discussions entre le ministère de l'Éducation nationale, les syndicats du secteur et les associations des parents d'élèves. Mais rien n'est vraiment simple.