Sans associer les deux syndicats qu'ils soupçonnent d'être de mèche avec la direction générale en roulant uniquement pour leur propre compte, ils ont déclenché une grève hier matin à Libreville pour exiger une meilleure gestion des ressources humaines.
Alors que la détermination de poursuivre le mouvement, déclenché depuis lundi dernier, semble de plus en plus perceptible dans l'administration publique, quelques agents sont présents à leurs postes pour assurer le service minimum. D'autres, par contre, travaillent effectivement comme si de rien n'était.
En cause, une opération de nettoyage des abords de la chaussée menée par une société chargée de la collecte et du ramassage des ordures.
Dans une interview qu'il a bien voulu accorder à notre rédaction, le responsable de l'ANBG dissipe les inquiétudes qui pourraient se créer dans l'esprit des élèves en possession, depuis le 15 janvier dernier, de leur bourse du 3e trimestre. Par la même occasion, il donne des informations sur les principes qui régissent le fonctionnement de l'agence, les délais d'exécution qu'elle se doit de respecter dans ses opérations, ainsi que les difficultés auxquelles elle est sans cesse confrontée.
Des témoignages éclairent l'opinion sur l'importance d'une telle structure dans un contexte comme le nôtre, où les chiffres de progression de la maladie ne cessent de s'affirmer.
Cette déclaration a été faite pour interrompre au plus vite les folles rumeurs entretenues par les dissidents au sujet du caractère illégal du préavis de grève déposé par la Dynamique unitaire (DU), sur la table du gouvernement et de la paternité de ce regroupement de syndicats.
Dons aux orphelinats, opération "Retroussons les manches", nettoyage des casernes et des bâtiments de commandements ont, entre autres, constitué les principales activités hier. Les forces de défense tenaient à cette occasion à faire la démonstration de tout leur savoir-faire.
PENDANT que les habitants de Libreville et de sa banlieue peinaient encore à se remettre de cette nuit d'enfer de mardi à mercredi, la http://fr
Samedi dernier, les points focaux et les coordonnateurs de la Croix-Rouge gabonaise ont formé des volontaires, près de 600, sur Ebola.
Accompagné de quelques membres de son équipe gouvernementale, le Premier ministre a initié une tournée marathon hier. Constat : des efforts ont été réalisés dans le sens de l'amélioration des structures, mais beaucoup reste encore à faire.
