Une personne guérie du Covid-19 peut réintégrer son emploi même si après un 2e test, généralement effectué 14 jours plus tard, des traces de virus persistent dans son organisme. C'est l'une des dernières révélations scientifiques à propos du nouveau coronavirus.
Qu'ils soient asymptomatiques, en proie à des formes modérées ou sévères du coronavirus, plusieurs victimes de la maladie dans notre pays ont recouvré la santé, après l'observation du protocole thérapeutique administré par le personnel médical.
Le milieu de terrain international gabonais du club français de Niort (Ligue 2) se trouve, depuis plusieurs mois, à Libreville pour raisons familiales. Il ne peut, pour l'instant, rejoindre son club à cause de l’interruption des liaisons aériennes due à l’épidémie de Covid-19.
Avec 2 002 cas qui n'étaient plus positifs au 22 juin passé, le Gabon compte de plus en plus de guérisons. Ce qui lui permet d'être le 3e pays dans la sous-région en nombre de rétablissements.
Pour diverses raisons, les patients hésitent à se rendre dans les formations sanitaires en cette période de Covid-19. "On voit d'ailleurs moins de malades chroniques, moins de victimes d’AVC… Il est donc possible que des patients renoncent à venir, peut-être par peur d’être contaminés", fait remarquer une infirmière du Centre hospitalier universitaire de Libreville (CHUL). Et le constat est quasiment le même dans l'ensemble des structures hospitalières de la capitale.
Comme préconisé lors de la réunion du Bureau du 9 juin dernier, l'Assemblée nationale connaît un rythme de travail soutenu depuis plus d'une semaine. Ce qui n'était pas le cas à cause des dispositions relatives à la lutte contre le Covid-19.
Cofina Gabon vient d'obtenir un financement à moyen terme de 4 milliards de francs CFA (6 millions d'euros) auprès de la Banque de développement des États de l’Afrique centrale (BDEAC) basée à Brazzaville. L'établissement financier compte utiliser cet argent exclusivement au profit des petites et moyennes entreprises (PME) gabonaises. En effet, l’objectif est d’accompagner ces PME dans le développement de leurs activités.
Le procès de Magloire Ngambia, programmé hier au palais de justice, a été finalement reporté à la prochaine session criminelle spécialisée. A la demande des avocats de la défense. Mais avant l'annonce du report, l'entrée dans la salle des pas perdus était strictement réglementée : dès que le quota a été atteint, tout accès à la salle d'audience a été interdit aux ''malchanceux'', qui se sont alors rassemblés dans la cour pour attendre les nouvelles du procès. Les chanceux, eux, devaient s'asseoir sur des bancs marqués, tout en respectant la distanciation physique.
Le ministre des Transports, Léon Armel Bounda Balonzi, et sa déléguée Françoise Assengone Obame, étaient, le mercredi 17 juin, en visite dans les centres de contrôle technique des véhicules.
La comparution devant la Cour criminelle spécialisée, prévue hier, de l'ancien ministre Magloire Ngambia pour détournements d'argent public et corruption passive, a été reportée à la prochaine session criminelle. À l'annonce de ce report, la déception se lisait sur les visages de tous ceux qui ont fait le déplacement du palais de justice.