Le combat contre le Covid-19 ne connaît pas de répit au sein de la municipalité de Libreville. En partenariat avec le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef), une vaste opération de désinfection du marché de Nkembo, dans le 2e arrondissement, s'est déroulée le vendredi 19 juin dernier.
La pandémie de Covid-19 offre, aujourd’hui, une formidable opportunité aux États pour revoir tout leur système de gestion, notamment les transactions financières.
La disparition, le 12 janvier dernier, d'Anderson Rinaldi Abagha Ngoua, 5 ans, au village Abé-Eba, à 27 kilomètres de Bitam, sur la route du district de Bikondom, connaît un rebondissement.
Sous tutelle du ministère de la Communication, l'Agence gabonaise d'études et d'observations spatiales (Ageos) se présente comme un outil au service du développement de tous les secteurs d'activités.
C'est le ministre en charge du Commerce, Hugues Mbadinga Madiya, qui a décliné les grands axes de ce document. Lequel devrait permettre aux employés dudit secteur d'exercer dans des conditions sanitaires favorables.
Budget primitif exercice 2020, masse salariale, transfert de compétences en matière de ramassage des ordures… Le maire de la commune de Libreville, Léandre Nzue, dans un échange, jeudi, avec les journalistes, a abordé les sujets qui ont marqué les activités de cette municipalité ces derniers mois.
Pour bon nombre de personnes interrogées, la nouvelle taxe proposée par le gouvernement est un subterfuge de plus pour renflouer les caisses de l’État, en ponctionnant dans le portefeuille des ménages et des opérateurs économiques déjà rendus fragiles par la pandémie de Covid-19.
Vainqueur avec le Gabon, en décembre 2011 à Marrakech (Maroc), du Championnat d'Afrique des moins de 23 ans, Claude Mbourounot, selon nos informations, devrait prendre, dans quelques semaines, la tête de l'équipe nationale du Gabon A'. Joint au téléphone, le directeur technique national, Raphaël Nzamba Nzamba, a fait savoir que le technicien gabonais avait le profil pour occuper cette fonction.
Le projet du gouvernement d’instaurer une nouvelle taxe de 2 % sur tout retrait d'espèces dans les banques à partir de 1 million de francs semble être la pilule de trop à avaler pour les ménages, déjà fragilisés par la pandémie de Covid-19. Si la plaidoirie du gouvernement peut sembler recevable, son opportunité et sa mise en application suscitent bien des interrogations.
C'était au cours de l'audience que le chef de l'Etat a accordée, hier, au ministre d'Etat en charge de la Communication et de l'Economie numérique. Plusieurs collaborateurs du numéro un gabonais étaient présents