Doit-on parler d'inconscience, d'irresponsabilité, d'insouciance ou d'imprudence des populations au moment où, un peu partout, en dépit de la nécessité de respecter les mesures barrières, la vie semble reprendre son cours normal, comme si de rien n'était ?
Le moins que l'on puisse dire, c'est que la sortie de l'auberge chez nous avec ce nouveau coronavirus n'est pas pour demain. C'est que la progression, ces derniers temps, des statistiques liées à cette pandémie du Covid-19 est telle qu'un possible assouplissement des mesures actuelles paraît difficilement envisageable. Chaque jour qui passe apporte son lot de chiffres effrayants.
La chanteuse Shan'L a posté, dimanche dernier, sur sa page Facebook, une vidéo dans laquelle elle reprenait un bout de son titre à succès "Yayayobè".
Seul regret pour les acteurs de cette lutte, l’incurie manifeste des pouvoirs publics dans l’application stricte de la loi anti-tabac et des cinq décrets y relatifs.
Les multiples sorties auxquelles se livrent les autorités administratives jouant un rôle de premier plan dans la lutte contre la propagation du Covid-19, ressemblent au fil du temps à une chanson dont l'air est connu d'avance par les populations du Grand Libreville et de l'arrière-pays. Lesquelles foulent au pied l'observation des gestes barrières. D'où l'inquiétante exprimée face à la montée des chiffres ces derniers jours.
Le ministère de l’Économie et des Finances a fortement recommandé au public d’éviter tout recours aux services en ligne dénommés Crowd1 et Coffre 2 Lux, qui connaissent un succès croissant à travers l’offre de produits d’investissement particulièrement douteux.
Les réseaux sociaux - encore eux -, ont exposé à la face du Gabon, la semaine du 25 mai dernier, des photos de sacs bleus contenant, tenez-vous bien, des ''saletés'' d'un hôpital. Observation faite, il s'avère qu'en toile de fond, c'est le très célèbre Hôpital d'instruction des armées d'Akanda qui est concerné. Comment en est-on arrivé à tant de négligence quand on sait que cette formation sanitaire est retenue comme site de traitement du Covid-19 ? Est-ce une façon d'étaler au grand jour l'absence d'un incinérateur ? À moins que ce ne soit le traitement des déchets hospitaliers qui soit ici le problème mis à nu !
Malgré l’interruption prématurée de la Ligue 1, le Prix Marc Vivien Foé, du nom de l'ancien international camerounais mort d’un arrêt cardiaque le 26 juin 2003 au stade Gerland de Lyon, aura bien lieu.
C'est sous le thème de la lutte contre le Covid-19 dans le respect de l'État de droit qu'a été célébrée, samedi 30 mai, la Journée nationale des droits de l'Homme. Autrement dit, une commémoration en phase avec l'actualité de la crise sanitaire qui la focalise toutes les attentions.
Répondre aux besoins de transport croissant des marqueteurs du secteur des hydrocarbures et des entreprises minières et forestières installées le long de la voie, n’a pas été un exercice facile pour la Société d'exploitation du Transgabonais (Setrag) ces dix derniers mois.