Dans le but de rendre plus efficaces les mécanismes de lutte contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19) déployés dans notre pays, les autorités avaient décidé, à côté de l'arsenal de mesures de riposte existantes, d'imposer au client l'achat systématique de tout produit touché en magasin.
En raison de la rupture au niveau mondial de son principal intrant de fabrication, l’usine a dû suspendre la production de gel, obligeant le ministère de la Santé à autoriser l’importation de ce produit de prévention indispensable. Aujourd’hui, tout est rentré dans l’ordre.
La barre des 1 000 cas de patients testés positifs au nouveau coronavirus a été franchie. Et ce, alors que le pic épidémiologique est loin d'être atteint. En atteste l'actuelle phase de contamination communautaire.
En novembre 2018, les autorités du pays ont supprimé un certain nombre d'organismes publics. Parmi lesquels l'Agence nationale de gestion et d'exploitation des infrastructures sportives et culturelles (ANAGEISC), chargée de gérer et d'entretenir les différents stades du pays issus des deux Coupes d'Afrique des nations (Can de 2012 et 2017) organisées par notre pays. Depuis cette décision, les stades d'Oyem et d'Angondjé sont quasiment à l'abandon.
Il y a quelques semaines, des médias avaient alerté sur des tests défectueux ou contaminés en Espagne, en Grande-Bretagne et au Canada. Il n'en fallait pas plus pour que les réseaux sociaux s'enflamment et que les gens s'inquiètent d'être inutilement exposés au coronavirus.
Le masque barrière fait partie des multiples gestes barrières qui, exécutés avec rigueur, luttent efficacement contre le coronavirus. Fabriqué selon la norme gabonaise NGA 2 000 version 2020, élaborée par l'Agence gabonaise de normalisation (Aganor), ce type de masque nécessite, cependant, des précautions d'usage quant à son utilisation et son entretien.
Selon les derniers chiffres de la Direction générale de la dette, en 2019, l’encours de la dette publique du Gabon a enregistré une hausse (+1,6%) pour se situer à 5 346,5 milliards de francs CFA.
Selon la BEAC, l’évolution de la pandémie de Covid-19 dans la zone d’émission Cemac n’a pas influencé négativement le niveau des réserves de change, qui demeure confortable. Par conséquent, l’éventualité d’une dépréciation de la monnaie communautaire est à écarter.
Au regard de la situation épidémiologique actuelle due au nouveau coronavirus qui paralyse le monde du football et ses acteurs en particulier, la Fédération internationale de football association (Fifa), consciente des difficultés financières auxquelles font face ses membres, a décidé de mettre en place un programme d'aide financière.
Après cette formation, ils seront aptes à mieux communiquer sur la maladie et à sensibiliser les communautés, en vue de briser la chaîne de contamination à grande échelle.