C'est l'objet du contrat de don, d'un montant de plus de 49 millions de francs signé hier à Libreville entre Masaaki Sato, ambassadeur du Japon, et Annette Pradeau, directrice dudit centre.
Objet de toutes les convoitises et de tous les fantasmes après le duel au couteau entre le Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet et l’ancien ministre d’Etat Bruno Ben Moubamba pour son contrôle exclusif, l’Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre est pourtant au bord… du sinistre avec des arriérés de salaires qui plombent son fonctionnement.
Le ministre des Petites et Moyennes entreprises (PME), Biendi Maganga Moussavou, était, hier, devant les membres de la Commission des Affaires économiques, de la Production et des Echanges du Sénat.
C’est la conséquence de la pluie diluvienne qui s’est abattue le week-end écoulé, dans la nuit de samedi à dimanche, faisant de nombreux sinistrés dans la plupart des quartiers de la ville.
En visite, lundi dernier, sur cette voie très dégradée, le chef du gouvernement a fait état du volume de financement et du mode approprié de mobilisation de fonds, de l'aménagement et du bitumage de ce qu'il a appelé la Route de l'Est.
Sur la base de témoignages transversaux, d'archives écrites et audiovisuelles, "Aziz'Inanga (Éclipse du clair de lune)" de la réalisatrice franco-gabonaise Alice Aterianus Owanga a fixé tout le monde.
Sur les 6 premiers mois de l’année, l’encours des créances de l’Etat a augmenté de 26 % à 4 110,4 milliards de francs. Il représente désormais 64 % du PIB national et se rapproche dangereusement des 70 % autorisés dans l’espace Cémac.
Richard-Auguste Onouviet et Josué Mbadinga sont, jusqu'alors, et cela ne risque pas de changer, les plus grosses victimes du renouvellement, par la base (même si d'aucuns dénoncent un transfert d'électeurs), des instances décisionnelles du Parti démocratique gabonais (PDG).
A l'initiative du bureau régional de l'OMS pour l'Afrique, deux ateliers dans ce sens se tiennent à Libreville depuis hier, avec la participation des acteurs impliqués dans cette lutte.
Seuls candidats en lice dans leurs sièges respectifs, Jean Massima, Blaise Louembé ou encore Régis Immongault Tatangani n’ont pas été inquiétés pour valider leurs élections au Bureau politique. Ce scrutin vient ainsi boucler les travaux relatifs au Conseil provincial ouvert samedi dernier à Koula-Moutou.