Les faits remontent au samedi 9 mars dans l'après-midi : une fillette de 4 ans est retrouvée morte dans une piscine pour adultes au "Tsunami", un centre de loisirs sis avenue Jean-Paul II à Libreville.
Le jour du drame, indiquent des sources présentes alors sur les lieux, la fillette se trouvait dans le bassin réservé aux enfants avec d'autres mineurs de son âge. Mais peu de temps après, nul ne sait par quel mystère la gamine dont on dit qu'elle n'avait d'ailleurs pas de gilet de natation sur elle, s'est retrouvée inerte au fond de la piscine pour adultes.
Le mystère est d'autant plus épais que dans ce même en vironnement, affirme un témoin, se trouvaient d'autres usagers. Mais, contre toute attente et à la stupéfaction de tous, "l'enfant a été aperçu au fond de la piscine par un maître nageur qui a tout de suite plongé pour la sortir des eaux, mais il était trop tard, car elle était déjà morte", précise la même source citée par un confrère en ligne.
Plus de trois mois après la survenue de cet accident auquel les parties ne souhaitaient plus faire allusion, du fait entre autres de son caractère douloureux pour la famille de la jeune victime, nous aurions pu en rester là si tant est que les questions que beaucoup se posent avaient trouvé des réponses du côté du "Tsunami", la fameuse "bouche du requin".
Mais là-bas, les responsables ont décidé de se montrer aussi étanches qu'un verre. Leur avocat, Me Tony Serge Minko mi-Ndong, contacté mercredi, s'est même autorisé à nous faire la morale.
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Olivier NDEMBI
Libreville/Gabon