Bien qu'il existe de nombreuses mesures et un cadre juridique renforcé pour décourager le braconnage, rien n'y fait.
LE Congo-Brazzaville a accueilli, du 27 au 30 avril dernier, une conférence internationale consacrée à la lutte contre l'exploitation illégale et le commerce illicite des produits de la flore et de la faune sauvage d'Afrique par des organisations criminelles oeuvrant sur le continent africain, et usant de tous les moyens pour parvenir à leurs fins.
De nombreux pays africains concernés par ces questions, dont le Gabon, y ont été représentés à un haut niveau. C'est le Premier ministre, Daniel Ona Ondo, qui a porté la voix du Gabon en lieu et place du président de la République.
Il s'agissait, pour les gouvernements des différents pays présents à ces assises, des partenaires au développement et de bien d'autres organisations, tant étatiques que non gouvernementales, de trouver des stratégies en vue d'une meilleure conservation de la flore et de la faune, à travers des projets spécifiques, en vue de garantir la biodiversité actuellement mise à mal.
A.M.
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