Il s’agit pour l'institution d’examiner les origines et les conséquences de la crise qui frappe le Gabon ; s'intéresser au nouveau Plan de redressement de l’économie adopté par le gouvernement, ainsi que l’impact économique et social de la pollution dans le pays.
LE Conseil économique et social (CES) a ouvert, hier à son siège, les travaux de sa deuxième session ordinaire de l'année. C’était l’occasion pour le tout nouveau président de l’institution de préciser le contexte dans lequel s’ouvre cette session. Pour René Ndemezo’o Obiang, la crise que traverse le Gabon est une situation qui interpelle son institution.
Ainsi, il a invité ses collègues conseillers à s’appesantir sur trois problématiques qui, selon lui, s’inscrivent dans la lignée des réflexions sur le redressement d’une économie. L’orateur a indiqué qu’il s’agit, dans un premier temps, d’examiner "les origines et les conséquences de la crise économique qui a frappé l'économie gabonaise à partir de 2014". Ensuite, semble-t-il nécessaire, pour Ndemezo’o Obiang et les siens, de ‘’s’intéresser au nouveau Plan de redressement de l'économie adopté par le gouvernement. L’objet étant de proposer les priorités qui doivent constituer le fondement des autres actions’’.
Troisième problématique, l’impact économique et social de la pollution au Gabon.
Martina ADA METOULE
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