C'est la principale conclusion du dialogue intensifié entre le Gabon et l'Union européenne (UE) qui vient de s'achever, au grand bonheur des deux parties concernées.
Après une semaine d'intenses échanges, le dialogue entre l'Union européenne (UE) et le Gabon s'est achevé, le week-end écoulé, sur une note positive. Les deux parties sont convenues d'initier un dialogue régulier. Objectif : renforcer la coopération bilatérale.
Les retrouvailles entre le Gabon (représenté entre autres par Alain-Claude Bilie-By-Nze, ministre des Affaires étrangères ; Edgard Anicet Mboumbou Miyakou, ministre d'État, ministre de l'intérieur de la Justice, Garde des Sceaux ; Rose Christiane Ossouka Raponda, ministre de la Défense ; Denise Mekam'ne Edzidzie épouse Taty, ministre des Relations avec les Institutions constitutionnelles et Rigobert Ikambouayat Ndeka, ministre de la Communication et l'Économie numérique) et l'Union européenne (conduite par son ambassadrice, Rosario Bento Pais, qu'accompagnaient les ambassadeurs d'Espagne, de France, d'Italie et le Chargé d'affaires d'Allemagne), ont essentiellement porté sur les droits de l'Homme, la gouvernance démocratique et élections.
À ce propos, les violences postélectorales de 2016, les détentions irrégulières en milieu carcéral, la liberté d'expression, la séparation des pouvoirs, l'indépendance de la justice, et bien d'autres thèmes objet de polémiques entre les deux parties, ont été passés au peigne fin. Et ce, sans aucune langue de bois. Ce qui constitue une avancée considérable.
Yannick Franz IGOHO
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique
maixant.moussavou
