Une unanimité semble se dégager au terme des communications du Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, devant le Conseil économique, social et environnemental et le Conseil national de la Démocratie : la nécessité de redresser la situation économique et financière de notre pays.
On aurait pu croire que des pans entiers de la société gabonaise étaient hostiles aux réformes structurelles que le gouvernement entend mettre en œuvre. Il n'en est rien, semble-t-il. Si l'on s'en tient, en effet, aussi bien aux observations et préoccupations formulées, mardi dernier, par les membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) qu'à celles émises, également au cours de la même semaine, par les conseillers membres du Conseil national de la Démocratie (CND), une ambition commune se dégage : celle de redresser la situation économique et financière de notre pays, en mettant un terme aux maux qui minent notre société, susceptibles d'ébranler notre vivre-ensemble.
Une volonté commune de remettre le train Gabon sur de bons et solides rails, en se fondant sur de nouveaux paradigmes tout en tenant compte des mutations de notre environnement. Ce qui, dans une certaine mesure, constitue l'essence même des réformes structurelles que l'équipe Nkoghe Bekale entend mener dans les secteurs de l'éducation, l'habitat, la santé, le logement social, la formation professionnelle, l'eau, l'énergie, l'aménagement du territoire, la préservation de l'environnement et le développement durable, etc.
J.KOMBILE.MOUSSAVOU
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