L’Union : Vous avez été convoqué, à la dernière minute, pour faire partie des vingt-trois joueurs appelés à disputer les matches contre l'Angola et le Lesotho, comptant pour les éliminatoires de la Can 2015. On peut dire que vous êtes un chanceux ?
- Alexander Ndoumbou : Je remercie du fond du cœur le staff technique qui m’a fait confiance. Ce bol d’air d’encouragement va me pousser à travailler davantage dans mon club afin de mériter ma présence dans la tanière des Panthères. Il me revient désormais de rendre la politesse au coach Costa.
Depuis l’ouverture de la saison, on ne vous a pas encore vu dans le groupe professionnel de Marseille. Qu’en est-il exactement et dans quel secteur, vous vous sentez le mieux en sélection comme en club ?
- Il n'y a pas d’inquiétude à se faire. J’ai des petits soucis avec le président, sans plus. Je travaille et je continue de travailler avec la réserve de Marseille. Je suis sûr d’une chose, j’ai un contrat professionnel et, justement, la charte professionnelle va obliger le club à me réintégrer dans le groupe pro dans un proche avenir. Et, là-dessus, le président du club se doit de respecter les conventions de la charte professionnelle. Dans ma situation, je ne suis pas seul, il y a aussi Chirou et Rod Fani. Pour ce qui est de mon positionnement sur le terrain, je suis un relayeur qui sait attaquer et contre-attaquer.
Revenons sur le match contre l'Angola. Un petit commentaire sur le onze de départ et les autres qui sont entrés par la suite ?
- Ce n’est pas toujours facile de bien jouer devant les parents, les amis, les autorités et surtout les fans qui n’attendent que la victoire et rien d’autre. En somme, les gars ont été costauds.
J.F.M
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