C'est ce qu'a indiqué le directeur technique national de la Fédération gabonaise de handball (Fégahand), au lendemain du tirage au sort de la CAN-2020.
"Logé dans un groupe où il y a l'Angola, le Nigeria et la Libye, le Gabon peut se qualifier pour le second tour, à la condition d'une préparation conséquente. Et se qualifier pour le second tour représente d’autant plus d’enjeux, qu'il qualifie également pour le championnat du monde que l’Égypte va accueillir en 2 021. Rêver donc d’inscrire le nom de notre pays à cette compétition mondiale revient à disposer des ressources financières pour démarrer et assurer une bonne préparation à nos athlètes. C'est la condition sine qua non pour bien négocier cette compétition, et espérer rafler une des six places, hors pays organisateur, que la fédération internationale réserve à l’Afrique. Depuis le mois de juin, les sélectionneurs ont présenté leur plan de préparation à la Fégahand, qui prévoit un regroupement s'étalant sur deux mois jusqu’en octobre. Cela ne s’est pas fait. Mais nous avons encore deux mois pleins pour nous préparer, avec un regroupement local et un à l’étranger, afin de s’acclimater. S'agissant des moyens, nous avons encore deux mois et je suis convaincu que les pouvoirs publics vont rapidement se pencher sur ce dossier."
Propos recueillis par Prossper Sax NZE BEKALE
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