La résurgence des immondices et l'ardoise accumulée de l'Etat auprès de ce prestataire ont été au cœur des échanges entre le ministre de l'Intérieur et les responsables de la société Averda.
FACE à la situation d'insalubrité que connaît Libreville et ses environs ces derniers temps, consécutive à la baisse d'activités de la société Averda chargée du ramassage des ordures ménagères, le ministre de l'Intérieur, de la Sécurité, chargé de la Décentralisation et du Développement local, Lambert-Noël Matha, a échangé, le 15 mars dernier, avec les patrons de ladite entreprise. Aux fins de trouver un modus vivendi à cette problématique qui inquiète, à juste titre, les administrés des communes de Libreville, d'Akanda et d'Owendo.
La délégation, en provenance des Émirats Arabes-Unis, était conduite par le directeur du développement de la Holding, Nicolas Achkar. Ainsi, au menu des échanges : la recherche de solutions pérennes pour venir à bout de l'amoncellement des ordures ménagères et le paiement de la dette de l'Etat auprès de l'opérateur. Cette dette étant la cause principale du non ramassage des ordures.
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