Des visiteurs enthousiastes, des participations aux rencontres thématiques…, les lettres gabonaises laissent très peu indifférents sur les bords de la Seine.
LE stand du Gabon, à côté de celui du pays invité, l’Afrique du Sud, ne passe pas inaperçu dans le pavillon des lettres d’Afrique logé au cœur de la 38 édition de Livre Paris, anciennement Salon du livre de Paris.
Des visiteurs de diverses nationalités, lecteurs assidus ou occasionnels, (re)découvrent, achètent, apprécient des œuvres de la littérature gabonaise exposées pour la première fois dans ce Salon très fréquenté. Idem pour de nombreux Gabonais de France, étudiants en majorité, qui découvrent ravis, exposées les lettres de leur pays aux côtés d’autres nations présentes. Tous discutent, échangent avec les écrivains présents : Eric Joël Bekale, Honorine Ngou, Albert Ngou, Sylvie Ntsame...
Bien que non présents dans le compartiment réservé à notre pays, d’autres auteurs occupent également la vedette dans ce Livre Paris. C’est le cas de Charline Effah. Installée en France où elle enseigne. Elle a participé, vendredi, à une rencontre thématique où elle a présenté son dernier roman, le troisième, "La danse de Pilar".
L’autre star de la littérature gabonaise, Bessora, a pris part à une table-ronde, hier en début de soirée sur son nouveau livre paru en février dernier aux éditions du Serpent à plumes.
Issa IBRAHIM
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