Plus que sa performance contre Angers, c'est l'erreur de flocage sur son maillot qui a marqué les esprits des journalistes ce week-end. Ainsi, les dirigeants nîmois ont écrit "Bouangua" et non Bouanga. Au micro de BeinSports, il a réagi avec humour.
« Je regardais mon maillot, comme c'est la première fois que je joue sous les couleurs de Nîmes, je me suis demandé si c'était normal », précisant que « l'intendant s'était excusé ».
Si la méprise fait sourire, elle ne doit pas faire oublier que pour le premier match de Nîmes, promu en L1 cette saison, l'international et ailier gabonais Denis Bouanga a contribué à la victoire de son équipe.
Les Crocodiles (surnom des Nîmois) ont eu du mal à se défaire de l'accrocheuse formation d'Angers. Comme le prouve le score (3-4). Bien qu'étriqué, le résultat permet à Nîmes d'engranger ses premiers trois points de l'année.
Et Bouanga dans tout ça ? Il a joué 64 minutes. Un temps suffisant pour s'en tirer avec une note globale de 6,6/10 attribuée par un site sportif. Certes, pas de buts, ni de passes décisives. Mais l'essentiel pour le jeune attaquant était plutôt de trouver sa place et de ressentir le frisson de la L1. Le Gabonais n'a pas ménagé ses efforts pour cela.
Un tir non cadré et un shoot stoppé par le gardien adverse, deux bonnes passes en profondeur composent son apport offensif. Si l'on peut estimer que c'est bien maigre, tel n'est peut-être pas le cas en regardant son jeu en défense, où Bouanga a donné de sa personne.
S.A.M.
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