En conclusion, c'est ce qui ressort de la déclaration faite par la mission d'observation de l'Union africaine (UA).
Présente sur la quasi-totalité du Gabon pour couvrir le deuxième tour des élections législatives, ces observateurs conduits par Monique Ngaralbaye ont noté que, comme au premier tour, le taux de participation a été faible. Même si la mission de l'UA n'a pas pu couvrir l'ensemble du pays lors du premier tour, la seconde étape de ce scrutin leur a permis de faire une évaluation ''impartiale et objective'' de ces élections.
Une évaluation qui les a conduits à déduire que le taux de participation a été plutôt élevé en zone rurale qu'en milieu urbain. Toutefois, ''en dépit des retards constatés à l'ouverture des bureaux de vote, l'organisation a connu une amélioration qui nécessite d'être consolidée''. Selon le chef de délégation de ces observateurs africains, ces élections ''viennent de poser les fondamentaux des sénatoriales à venir, au terme desquelles se refermera le cycle électoral entamé en 2016''.
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