Le chef de la diplomatie gabonaise a représenté, dimanche dernier, le président de la République, Ali Bongo Ondimba, empêché, aux festivités du Centenaire de l'armistice de 1918, à Paris, en France.
Aux côtés de plusieurs dizaines de chefs d’Etat et de gouvernements et de responsables d’organisations internationales, le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, Régis Immongault Tatangani, a d’abord participé à la cérémonie internationale d’hommage. Présidé par le chef de l'Etat français, Emmanuel Macron, cet hommage, qui a eu lieu à l’Arc de Triomphe, s'est décliné en deux séquences.
La séquence militaire était marquée par le salut au drapeau, les honneurs militaires, la revue des troupes et l’interprétation de La Marseillaise. Et au cours de la séquence civile, huit jeunes lycéens ont lu des textes de soldats et proches, écrits le jour de l’armistice du 11 novembre 1918. Puis, il y a eu le discours de circonstance du président de la République française, Emmanuel Macron, et les interprétations musicales dont celle de '' Blewu'' par l’artiste béninoise Angélique Kidjo et Le Boléro de Maurice Ravel par l’orchestre des jeunes de l’Union européenne.
Le ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères a ensuite été convié au déjeuner officiel offert par le numéro un français au palais de l’Élysée. Avant d’assister, dans l’après-midi, à la cérémonie solennelle d’ouverture du Forum de Paris sur la paix, ponctuée par trois allocutions.
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