La question des risques des déchets chimiques dans le cadre de la lutte antivectorielle était au centre des échanges samedi dernier à l'école supérieure Libreville international business (LIBS).
À l'initiative des responsables de cet établissement d'enseignement supérieur privé, experts en la matière et enseignants-chercheurs se sont penchés sur les risques liés aux produits chimiques, les méthodes à utiliser afin de se prémunir des maladies et accidents qui en découlent. Parce qu'une mauvaise gestion des produits chimiques peut avoir des effets néfastes sur la santé, Marc Bekale, agent à l'Institut d'hygiène et d'assainissement, par ailleurs étudiant à LIBS, a, à travers un exposé, interpellé les uns et les autres sur l'urgence d'optimiser la gestion des déchets chimiques.
"Qu'ils soient liquides ou chimiques, les déchets à risque chimiques et toxiques peuvent porter atteinte à celui qui les manipule et à l'environnement. Une gestion écologique irrationnelle de ces produits et l'absence d'une réglementation appropriée de ces substances dangereuse peuvent entraîner des décès dus à des intoxications, à la contamination et à la pollution", prévient Marc Bekale lors de son exposé.
Les produits chimiques sont désormais des éléments incontournables de la vie moderne. Ils sont omniprésents dans les produits médicaux et sanitaires. C'est fort de ce constat que les responsables de l'école de commerce LIBS se sont penchés sur cette question, bien actuelle.
Prissilia M. MOUITY
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