LES militants du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se sont retrouvés, samedi dernier, autour de leur président fondateur, Jean-Boniface Asselé
LES militants du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se sont retrouvés, samedi dernier, autour de leur président fondateur, Jean-Boniface Asselé. À l'occasion des traditionnels vœux de nouvel an. Les représentants des différentes composantes de cette écurie politique se sont pliés audit exercice non sans dresser le bilan de l'année écoulée.
Prenant par la suite la parole, la tête de file du CLR a exhorté ses camarades au respect scrupuleux des mesures barrières contre le Covid-19. Le "Clriste en chef" n'a pas manqué de souligner que l'actuelle pandémie mondiale continue de décimer les familles. Face aux tensions internes et autres incompréhensions, Jean-Boniface Asselé a annoncé une réforme des instances. Et expliqué que le poste de délégué général adjoint sera supprimé. Dans la même foulée, il compte rapidement composer son cabinet. En sa qualité de président du Conseil politique, il a fait savoir que les membres vont bientôt se retrouver pour travailler à la réforme du parti.
À noter que depuis le dernier congrès marquant les vingt-cinq ans d'existence du CLR, le Conseil politique ne s'est pas encore réuni. Il est clair que de nombreuses questions vont être débattues lors du Conseil politique à venir.
Abordant les questions de l'heure, Dr Nicole Asselé, déléguée générale, a affirmé que le CLR prendra une part effective aux élections sénatoriales des 30 janvier et 6 février prochains. Occasion pour elle de préciser que "le CLR est un parti organisé. Les candidats qui brigueront les sièges sont connus depuis un mois". Donc pas besoin de passer par la case primaires comme cela a été le cas durant le week-end au Parti démocratique gabonais (PDG) et à "Démocratie nouvelle" (DN).
Bon à savoir : le CLR est membre de la majorité républicaine et sociale pour l'émergence (MRSE) et se revendique du "centrisme" comme idéologie.
Yannick Franz IGOHO
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