Le week-end écoulé, le délégué général adjoint du Centre des libéraux réformateurs (CLR), chargé de l'implantation, a séjourné dans les provinces de la Ngounié et du Moyen-Ogooué.
Gabon politique
Actualité politique au Gabon
La décision rendue par la Cour constitutionnelle le 15 juin dernier devrait vraisemblablement mettre un terme à un débat qui a cours, en ce moment, au sein d'une partie de la classe politique gabonaise, s'agissant du renouvellement du bureau du Conseil gabonais des élections (CGE).
Les installations des différentes coordinations du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se poursuivent. Après Akanda, Libreville, Ntoum, le délégué général adjoint en charge de l'implantation du parti, Alexandre Désiré Tapoyo, a récemment bouclé ce périple dans la province de l'Estuaire par le département du Komo-Kango.
L'entretien entre l'ambassadeur haut représentant du Gabon en France, par ailleurs représentant permanent du Gabon auprès de l'OIF, et le nouveau recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), a porté sur l'élaboration de la prochaine stratégie quadriennale de l'AUF (2021-2025).
Tous le petit doigt sur la couture du pantalon ! En adressant mises en demeure et avertissements à une trentaine de ses cadres, principalement des élus, le PDG a voulu montrer qu'il n'était pas prêt à transiger avec le respect scrupuleux d'une valeur qu'il considère essentielle à son fonctionnement et à son rayonnement : la cohésion.
On s'y attendait un tout petit peu. Le Parti démocratique gabonais (PDG), via sa Commission permanente de discipline (CPD), s'est montré particulièrement ferme en sanctionnant vingt-cinq de ses parlementaires qui, lors de l'examen et l'adoption par le Parlement de la loi 006/2 020 du 30 juin 2020 portant modification du Code pénal, avaient exprimé un "vote dissident, attitude située aux antipodes des principes basiques de cette formation politique et du style de travail édicté par le secrétariat exécutif".
Le représentant spécial et chef du Bureau régional des Nations unies pour l'Afrique centrale (UNOCA), François Louncény Fall, a pris part aux travaux de la 17e session ordinaire des chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), tenue par visioconférence jeudi dernier
Mission réussie pour le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la Communauté économique des États d'Afrique centrale, (CEEAC). En témoigne, le passage, "haut la main", du secrétariat général à la nouvelle Commission de la CEEAC. Un quitus octroyé par les chefs d'État et de gouvernement réunis jeudi, par visioconférence. La tenue à distance inédite (Ndlr : la première du genre en 37 ans d'existence de l'organisation), de cette 17e session ordinaire de la conférence des chefs d'État et de gouvernement de la CEEAC, s'explique par des restrictions imposées par le "tueur invisible", le nouveau coronavirus.
Le nouveau chef de la diplomatie gabonaise a présidé, en début de semaine, une réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères, des Relations extérieures et de l'Intégration de la CEEAC.
Tels sont les deux grands points inscrits à l'ordre du jour du 17e sommet ordinaire des chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC) qui se tient aujourd'hui par visioconférence. Restrictions dictées par le nouveau coronavirus oblige ! Une rencontre de haut niveau, animée par le numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la CEEAC.