Plusieurs centaines de Librevillois sont venus manifester devant l'ambassade française pour un respect des institutions gabonaises.
Gabon Culture & Société
Société et culture gabonaise ; toute l'actualité !
De nombreux visiteurs se sont rendus, le week-end écoulé, à la maison Georges-Rawiri pour découvrir le meilleur des créations du terroir. Les secteurs alimentaire, du numérique, de l'agrobusiness et de l'art se disputaient la vedette.
Rédigé à la suite du premier Conseil exécutif de la Commission nationale gabonaise pour l'Unesco, tenu le 17 février 2016. Le document paraphé vendredi dernier, donne une certaine lisibilité du cadre de travail entre le Gabon et l'Unesco jusqu'en fin 2017.
Le lycée Jean-Hilaire-Aubame-Eyeghe de Nzeng-Ayong (LJHAE), à Libreville, a été le théâtre, mercredi après-midi, d'une scène de guérilla sauvage. Vers 16 heures, une quarantaine d'élèves du lycée technique national Omar-Bongo (LTNOB) auraient entrepris d'attaquer ce lycée, et de molester tous ceux qu'ils trouvaient sur place.
La pluie qui s'est abattue hier sur la capitale gabonaise et ses environs a encore fait des sinistrés. De nombreuses familles se sont de nouveau retrouvées les pieds dans l'eau.
Le ministre déléguée à l’Éducation nationale chargé de l'Enseignement primaire Lucie Akalane, était en visite dans certaines écoles de Libreville. Objectif, constater le déroulement des activités pédagogiques.
Logé à l'Institut national de la poste, des technologies de l'information et de la communication (Inptic), il s'agit d'un campus virtuel, dispositif de soutien scolaire à distance réservé aux élèves des classes d'examens.
C'est sous ce thème que se tient, depuis le mercredi 30 novembre dernier, dans les jardins de la radio panafricaine Africa n°1, et ce jusqu'au samedi 10 décembre courant, l'événement littéraire organisé par les éditions SBPRO.
Ces policiers, sont arrivés ce matin nous demander de déguerpir de nos domiciles. Ils nous disent que nos terrains appartiennent à un ressortissant béninois, qui aurait un titre foncier qu'ils ne nous présentent pas, alors que nous avons les nôtres.» a expliqué hier matin, un des habitants lésés de la zone dite Razel.
Vingt-deux films en sélection officielle et en compétition pour cinq prix, des master class pour enrichir la production locale : en cinq jours, la 11e édition de cette fête du documentaire a atteint ses objectifs.