Pour celle ou celui qui reste, la mort du conjoint n'est-elle pas suffisamment difficile ? Faut-il ajouter d'autres traumatismes encore ? D'autres maltraitances, spoliation en tous genres, refus de justice. Retour sur cet atelier de réflexion, inspiré par la Première dame.
Demain, dans votre quotidien L'Union.
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