Cet impératif a été évoqué par le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, lundi dernier, lors de la présentation du rapport de la première année d'exécution du Plan de relance de l'économie (PRE).
LE 17 mai 2017, le gouvernement adoptait un Plan de relance de l’économie (PRE) pour la période 2017-2019. Plus d'un mois après, le 27 juin, le Premier ministre est allé le présenter à l’Assemblée nationale. Assurément pour avoir l'onction de la représentation nationale.
Inutile de rappeler que sur les trois objectifs visés par le PRE, tout, ou presque, a été dit par Emmanuel Issoze Ngondet, lundi 23 avril 2018, lors de la restitution des résultats de la première année d'exécution de ce programme.
Toutefois, nous avons jugé utile de revenir sur trois aspects fondamentaux de ce bilan d'étape. Le premier concerne la dette publique. Quel est le niveau réel de celle-ci ? Quelle est la valeur réelle des conventions de dette actuelles ? Correspondent-t-elles à un service fait ? Les règlements effectués profitent-ils à l’économie ?
Autant de questions que s'est posées le chef du gouvernement qui a, manifestement, à cœur d'y voir clair dans cette dette. D'où l'instruction donnée au ministère du Budget et des Comptes publics de l'auditer. Car, pour lui, « il est incoercible d'apporter des réponses claires à ces interrogations et repartir de zéro, en mettant en place un dispositif plus transparent dans la formation de cette dette ainsi que dans son règlement.»
MASS...
Guy-Romuald MABICKA
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