Le chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, qui assure actuellement la présidence tournante de la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC), a reçu le secrétaire général de ladite organisation sous régionale, Ahmad Allam-mi.
Le sommet des chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC), prévu le 30 juillet prochain, était parmi les points inscrits à l'ordre du jour de l'audience que le président Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la CEEAC, a accordée, hier, au palais présidentiel, au secrétaire général de ladite organisation, Ahmad Allam-mi.
Pour le numéro un gabonais, il est important de trouver une "réponse collective forte" aux défis majeurs parfois inédits auxquels font face le monde en général et la sous-région d'Afrique centrale en particulier. Lesquels ont pour noms : entre autres : la riposte contre la pandémie à coronavirus, la relance économique sous-jacente et la redynamisation de la croissance afin de stimuler l'emploi. Cette réponse collective est nécessaire, en complément aux efforts déjà déployés par chaque État.
C'est pourquoi, estime le président en exercice de la CEEAC, la "réforme historique" des institutions de ladite organisation, adoptée en décembre 2019 à Libreville, s'avère indispensable. En ce sens qu'elle permettra une meilleure coordination entre les États membres dans le déploiement de certaines politiques publiques. Donc une plus grande efficacité et davantage de solidarité.
"En ma qualité de président en exercice de la CEEAC, soutient le chef de l'État , il est de mon devoir de tout faire pour assurer la mise en œuvre effective, et à bon rythme, de cette réforme dont les grands bénéficiaires seront les peuples d'Afrique centrale."
ONDOUBA'NTSIBAH
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