Selon Rose Christiane Ossouka Raponda, celui-ci a été exécuté dans le strict respect de la réglementation régissant la gestion des finances publiques. Cela malgré les contraintes auxquelles le bureau du conseil municipal a été confronté.
LE conseil municipal de la commune de Libreville est réuni en session ordinaire depuis hier, à l'hôtel de ville. Conformément à la loi N° 001/2014 du 15 juin 2016, il examine les comptes administratif et de gestion de la commune pour l'exercice 2017.
L'édile de la capitale, Rose Christiane Ossouka Raponda, président du conseil municipal, a ainsi rappelé que le compte administratif compare les prévisions ou autorisations inscrites au budget primitif avec les réalisations effectives et dépenses (mandat) et en recettes (titres).
La session actuelle donne donc à Mme Ossouka Raponda l'occasion de soumettre à la sanction du conseil municipal, l'exécution des opérations budgétaires durant l'exercice 2017. Comme elle l'a expliqué dans son propos d'ouverture, " le 15 mai 2017, le conseil municipal m'a autorisée à exécuter le budget primitif''.
Le budget primitif en question, il faut le rappeler, avait été arrêté en dépenses et recettes à la somme de vingt-six milliards quatre vingt-neuf millions (26.089.004.056) de francs.
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Gabon politique