Plusieurs membres de ces deux formations de l’opposition et anciens candidats aux dernières élections législatives et locales ont décidé, le week-end, de démissionner pour réjoindre les Sociaux-démocrates gabonais (SDG).
Les ''Sociaux-démocrates gabonais'' (SDG) ont le vent en poupe, tant leur parti continue d’enrégistrer des arrivées, au détriment des autres formations politiques. Cette fois, c’est l’Alliance pour le Changement et le Renouveau (ACR) et le Rassemblement pour la Patrie et la Modernité (RPM) qui ont vu, samedi denier, plusieurs de leurs membres démissionner, à la faveur d’une déclaration collective devant la presse, pour rejoindre ce parti proche de la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence (MRSE).
Il s’agit, à en croire la déclaration parvenue à notre rédaction, de certains anciens candidats et collistiers aux dernières élections couplées législatives et locales, des provinces de l’Estuaire, la Ngounié, la Nyanga, l’Ogooue-Ivindo et l’Ogooue-Lolo. Notamment, Aline Annette Lindzondzo, Ulrich Davy Iyembit, Alain Firmin Anyunzoghe Aboghe, François Eko Nguema, Sylvain Mvele N’Na, Landry Ikapi, William Boka, Alexandre Mavitsi, Guy-Roger Moussavou, Felicien John Christ Nzamba Kassa et Franck Armand Moussavou.
Cette douzaine de compatriotes entendent dorénavant mettre leur expérience au service de cette jeune formation présidée par Juste Louangou Bouyomeka, et contribuer à son évolution sur l’échiquier politique national.
Stéphane MASSASSA
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