C’est à travers sa fondation "Ma bannière", dont elle est fondatrice, que la Première Dame du Gabon, Zita Oligui Nguema a tenu à honorer les mères de Franceville, dans le cadre de la célébration en différé de la fête des mères. À cet effet, plusieurs centaines de femmes de la commune de Franceville et ses environs, de toutes les couches sociales ont répondu présentes à l’événement, qui s’est tenu samedi 22 juin 2024, dans la salle de banquet et à l’esplanade du gouvernorat.
Ces mères ont eu droit à des présents assortis d’un repas de communion, au cours de cette somptueuse cérémonie agrémentée par la prestation des groupes socioculturels de la contrée et d’une exposition d’art artisanal. Sous le thème "Femme africaine et épanouissement".
La cérémonie présidée par la directrice du département social de la fondation Ma bannière, Stéphanie Oyili, représentant la Première Dame a été rehaussée par la présence des autorités locales, en tête desquelles le préfet de la Passa, Raphaël Obali représentant le gouverneur du Haut-Ogooué empêché. Occasion pour l’émissaire de la première dame de rappeler aux mères, le rôle crucial qu’elles jouent au sein de leurs familles.
« Vous êtes le pilier sur lequel reposent tant de vie et votre influence est inestimable. Nous célébrons l’amour inconditionnel, la force et le dévouement qui caractérise la maternité. A l’instar des hommes, chaque femme a sa place et un rôle à jouer dans le développement de notre pays», a signifié Stéphanie Oyili. Pour leur part, les bienheureuses mères ont exprimé leur forte émotion, par la voix de leur représentante.
« Toutes les mamans ont l’honneur de transmettre à la première dame leurs profonds et sincères remerciements pour cette attention particulière accordée à la femme de l’arrière-pays. Ce sont des moments de partage de convivialité, de solidarité, d’unité et d’amour », a exprimé Elodie Diane Sandjoh. La fondation Ma bannière de la première dame est une organisation de droit gabonais, à but non lucratif dédié à la cause des personnes vulnérables ; notamment les enfants et les jeunes en détresse, les jeunes filles mères et les femmes.
Nadège ONTOUNOU
Franceville/Gabon