« Nous sommes mauvais offensivement. 1-0, à la pause, ne ressemble pas au nombre de buts ratés. Nous devions aller au repos avec une large avance sans qu'on ne trouve à redire. Nos garçons ne montrent pas l'envie de remporter ce match qui est loin d'être gagné. Car, nous ne sommes pas venus pour un nul ou une défaite...»
Ce coup de gueule du coach Alain Styve Mandrault résume le film de la première période du match FC 105/Stade Mandji. Une mi-temps contrôlée par le club de la mairie de Port-Gentil qui a été aidé par l'indiscipline tactique de Poute Poute et ses coéquipiers, brouillons dans l'entre-jeu, en plus d'être désordonnés dans l'application de la défense en ligne.
Fort heureusement pour la lanterne rouge du National-Foot 1, évoluant sans son latéral droit Wesley Kama « victime d'un malaise à l'échauffement », que les Stadistes Bembangoye (1re), Bouka (3e) et autres Angoue (12e) manquent de réussite et d'adresse face à l'exubérant gardien de but Lionel Mounguengui. Le manque de tempérance de ce dernier, dans ses interventions, permet à Djoe Boussougou, décalé sur le flan gauche et exempt de tout marquage, de se distinguer en ouvrant la marque : 1-0 (33e). « Stade Mandji mérite de mener au score à la pause », accepte sportivement le coach du club « orange et noir », Obame Bekoure.
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