Le comité ad hoc chargé de la normalisation du taekwondo a procédé, dernièrement, sur l'ensemble du territoire national, à l'examen de la situation des clubs et associations devant prendre part à l'élection des comités directeurs des ligues provinciales. Lesquels éliront, plus tard, le bureau directeur de la Fédération gabonaise de taekwondo.
L'identification portait essentiellement sur les éléments que devraient présenter lesdits clubs ou associations pour avoir le statut d'électeurs. C'est ainsi que les clubs, pour prétendre voter, avaient l'obligation de présenter leurs statuts et règlements respectifs, la composition du bureau directeur, la liste des athlètes et les diplômes des instructeurs. Toute une gageure ! Au niveau de l'Estuaire, 40 clubs et 8 associations ont été recensés : le Haut-Ogooué (4), le Moyen-Ogooué (11), la Ngounié (5), la Nyanga (4), l'Ogooué-Maritime (15) et le Woleu-Ntem (3). L'Ogooué-Ivindo et l'Ogooué-Lolo ne comptent aucun club.
S'agissant de l'Estuaire, 15 clubs et associations, sur les 48 de départ, remplissent les critères. Il s'agit, entre autres, de Bakimoon taekwondo, Taekwondo Jhonson Okoumé, Association gabonaise de taekwondo et arts martiaux associés (Agatama), Missile taekwondo…
Dans le Haut-Ogooué, Masuku Taekwondo, Academic taekwondo, Diamand Tae Dojan Moanda et Manga taekwondo sont autorisés à participer à l'élection. Dans la province du Moyen-Ogooué, tous les 11 clubs recensés sont priés de présenter les diplômes de leurs encadreurs. Tout comme dans la Nyanga et l'Ogooué-Maritime. Au niveau du Woleu-Ntem, seul le club Nkoume Ekeign est en règle.
W.N.
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