Premier point : la Budgétisation par Objectif de Programmes n’a pas prouvé son efficacité – c’est le moins que l’on puisse dire – dans le cadre de son application au sein de l’administration. Il est donc nécessaire de remettre à plat l’ensemble du système de gestion budgétaire. Dans le contexte économique actuel, la dépense publique doit être optimisée.
Second point : La rationalisation des services personnalisés, c’est-à-dire la redéfinition du périmètre d’action des agences et surtout la revue de leurs missions, apparaît plus que nécessaire. L’action de nos agences publiques doit être à la fois plus pertinente et plus efficace.
Troisième point : La réduction de la masse salariale dans la fonction publique. Celle-ci doit impérativement être réduite. Disons-le, de ce point de vue, notre Etat est obèse. Il lui faut une cure d’amaigrissement. Il en va de la bonne santé de nos finances publiques mais surtout de notre capacité à recouvrer des marges de manœuvre nécessaires pour garantir le meilleur service public possible aux Gabonaises et aux Gabonais.
Quatrième point : La revue complète de la dette pour en garantir la soutenabilité et surtout une gestion optimale. C’est indispensable. Ce qui peut être renégocié à de meilleures conditions devra l’être.
Cinquième point : Une plus grande...
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