En prélude à la prochaine édition de la campagne "Octobre rose", le ministre de la Santé, Guy-Patrick Obiang-Ndong, a rencontré, mardi passé, les directeurs généraux des Centres hospitaliers universitaires (CHU), directeurs des hôpitaux, les médecins chef des Centres de santé du "Grand Libreville" et les responsables du Programme national de protection contre les cancers.
But : faire un état des lieux des équipements, consommables et ressources humaines qualifiées à la réalisation du dépistage dans les différents centres dédiés.
Cette rencontre a donc permis aux différents responsables des structures sanitaires de faire une présentation de la situation dans leurs structures respectives. "Les dépistages effectués durant le mois d'octobre ne constituent qu'un rappel de ce qui se fait pendant toute l'année. Pendant les mois précédents, le système est parfaitement organisé et bénéficie même du soutien d'entités comme la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la Famille. La particularité de la 7e édition d'Octobre rose sera de renforcer le travail effectué avec les communautés, d'atteindre le plus grand nombre comme par le passé, et poursuivre le partenariat avec la Santé militaire pour n'être qu'un seul système de santé", a indiqué, mardi passé, la directrice du Programme national de prévention et de contrôles des cancers, le Dr Nathalie Ambounda Ledaga.
L'organisation des dépistages au sein des communautés devra se faire dans le respect strict des mesures barrières. Le ministre a ainsi préconisé une planification des rendez-vous, afin d’éviter les attroupements.
Serge A. MOUSSADJI
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