C'EST sous le sceau de la poursuite de la dynamique impulsée depuis le premier exercice (2018-2020) que débute le second mandat à la tête du Barreau gabonais pour le bâtonnier Lubin Ntoutoume
C'EST sous le sceau de la poursuite de la dynamique impulsée depuis le premier exercice (2018-2020) que débute le second mandat à la tête du Barreau gabonais pour le bâtonnier Lubin Ntoutoume. Il s'agit tout de même d'un veste programme.
"Notre Barreau avait besoin de changement pour lui redonner une âme, une vision, une audience, sa notoriété, ses lettres de noblesse ", avait déclaré récemment le bâtonnier. Il s'agit d'engagements forts dont la traduction en actes a commencé depuis quelque temps. En témoigne lea série d'initiatives structurelles qui a émaillé cet exercice passé durant lequel plusieurs gages de dynamisation ont été posés.
Pour l'ère qui démarre, au nombre des axes à développer, la " formation continue " tiendra une place de choix. Ce sera le prolongement des sessions déjà tenues avec le soutien de plusieurs organismes tels que la Conférence des Barreaux de l'Ohada, l'Ordre des avocats de la Cour de cassation française, le Cifaf, l'Ersuma, etc. en vue de renforcer les capacités scientifiques des avocats gabonais.
Sur le plan d'une grande visibilité, le rayonnement du Barreau gabonais devra se renforcer avec la participation de ses membres aux grandes conférences internationales. C'est dans cet esprit que la tenue à Libreville de la 35è Conférence internationale des Barreaux (CIB) qui a été reportée pour cause de Covid-19 constitue un défi et un challenge à relever, d'autant qu'il s'agira de recevoir 1 000 avocats d'expression francophone venant du monde entier.
ENA
Retrouvez l'intégralité de cet article dans la version numérique complète
Retournez à la rubrique Justice & Faits divers au Gabon
hans.mebale
